Cabinet TORINO depuis 1948 – Un nom historique dans le monde des Agences de détectives privés à PARIS

Définir ma profession ! Vaste entreprise D’abord c’est une vocation, en tout cas pour moi et souvent, la plupart de mes collaborateurs. Il faut abandonner la caricature du privé, incarnée par H. Bogart, qui réussit là où la police piétine.
ublier aussi l’image du pépère rougeaud péniblement hissé au sommet d’un pommier qui, longue vue à la main, traque la femme adultère… Folklore ! Un demi-siècle de pratique constante me permet d’établir un bilan dont je n’ai pas à rougir.
Je ne compte plus les adolescents fugueurs que j’ai ramenés à leur famille, les héritiers retrouvés, les amis solides séparés par les aléas de la vie que je réunis grâce à mes efforts, les investigations commerciales et financières menées à bien (entreprises mises à l’abri de la concurrence déloyale ou des malversations).

A ce propos, je tiens à préciser que l’argent, pourtant  » nerf de la guerre « , n’est pas l’essentiel. Nombreuses sont les personnes qui ont quitté mon Cabinet après avoir ouvert leur coeur.
Notre métier, c’est d’abord écouter puis comprendre…Ensuite, il faut avoir un peu de chance ! Mon activité, c’est aussi aider les inventeurs à trouver des ayants droit.
Nous renseignons également ceux qui essayent de ne pas s’associer en affaire, avec des personnes douteuses mais en apparence, bien sous tous rapports. Il nous faut être curieux, mais à Anatole France qui a écrit dans « Le Jardin d »Epicure » : « Il y a toujours un moment oú la curiosité devient un péché, et le diable s’est toujours mis du côté des savants », j’oppose Cowley : « La curiosité, pas moins que la dévotion fait les pélerins ».